Protégez-vous contre les risque d'un mauvais ramonage

    Réduire son impact
    environnemental

    Être acteur de
    la qualité de l’air

    Utiliser les énergies
    renouvelables

    Prévenir c'est guérir, protégez-vous contre les risques d'un mauvais ramonage

    Infos pratiques ! Bûches ramoneuses : à utiliser avec précaution

    De nombreux magasins proposent à la vente des bûches ramoneuses qui, par l’action de produits chimiques, sont censées ramoner vos conduits de cheminée ou d’installation de chauffages. S’ils constituent effectivement une aide au ramonage mécanique en fragilisant les dépôts, ces produits ne peuvent se substituer à lui. Dans certains cas, ils présentent même un risque de vieillissement accéléré des matériaux utilisés pour les conduits (corrosion due à une réaction chimique). Mieux vaut donc vous en tenir au ramonage exigé par la réglementation.

    Monoxyde de carbone : attention, danger !

    Avec une centaine de décès chaque année, le monoxyde de carbone représente la première cause de mortalité par toxique en France ! (Source : Centre épidémiologique sur les causes médicales de décès).

    Bien qu’en nette baisse depuis 30 ans, 1 353 épisodes d’intoxications qui ont été enregistrés en 2007, impliquant 4 197 personnes. (Source : Système de surveillance nationale de intoxications au CO, INVS)

    Monoxyde de carbon tue

    Qu’est-ce que... le monoxyde de carbone ?

    Le monoxyde de carbone est un gaz incolore, inodore, combustible, mais mortel. Sa densité est voisine de celle de l’air. Sa présence résulte d’une combustion incomplète quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane. Il se diffuse très vite dans l’environnement. Il agit comme un gaz asphyxiant très toxique qui, absorbé en quelques minutes par l’organisme, se fixe sur l’hémoglobine.

    • 0,1 % de CO dans l’air tue en 1 heure
    • 1 % de CO dans l’air tue en 15 minutes
    • 10 % de CO dans l’air tuent immédiatement
    Monoxyde de carbon

    Sécurité incendie Publié le 14.03.2013 - Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

    Détecteurs de fumée obligatoires depuis le 15 mars 2013 ; Un incendie se déclenche en moyenne toutes les deux minutes en France, tuant chaque année plus de 800 personnes et faisant plus de 10 000 victimes. 7 décès sur 10 ont lieu la nuit et c’est la fumée qui en est la principale responsable.

    Afin de prévenir ce risque, le détecteur de fumée est l’équipement indispensable puisqu’il augmente de 90 % les chances de survie d’une famille en cas d’incendie ! Dans les autres pays d’Europe, la loi sur l’installation des détecteurs de fumée a permis de diminuer de 50% le nombre de victimes.

    L’arrêté du 14/03/2013 ; Conscient de la nécessité de faire de la prévention, le gouvernement a voté une loi en 2010 rendant l’installation d’au moins un détecteur de fumée obligatoire dans les logements d’ici le 8 mars 2015.

    Complétée depuis par un arrêté publié le 14/03/2013 précisant les conditions d’installation, d’entretien et de fonctionnement à respecter, la loi est applicable depuis le 15/03/2013. Les assureurs peuvent donc, depuis cette date, exiger une attestation d’installation d’un détecteur de fumée EN 14604 et le cas échéant appliquer une franchise de 5 000 euros pour non équipement en cas de sinistre.

    Sécurité incendie

    Combustion incomplète et risques de cancer !

    Pollution de l’air extérieur.

    Le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) a annoncé jeudi 17 octobre 2013, qu’il classifiait la pollution de l’air extérieur comme cancérogène certain pour l’homme, et ce, quelle que soit la région du monde où l’on réside. Dans les grandes villes, les feux de bois peuvent rapidement contribuer au dépassement de certaines limites réglementaires de pollution de l’air, dont en microparticules et suies.

    Selon la Direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie (DRIEE) ils comptent pour 23 % des émissions de ces particules en Ile-de-France, c’est-à-dire autant que l’échappement des véhicules routiers.

    Une seule certitude a été établie : la combustion domestique de combustible biomasse (essentiellement le bois) provoque le cancer du poumon à l’intérieur des habitations.
    Le CIRC classe actuellement les émissions de source intérieure dues à la combustion domestique de biomasse (essentiellement le bois) dans le groupe des cancérogènes probables pour l’homme (groupe 2A).

    Pollution de l'air

    Développement du bois énergie Dans différents pays, le développement du bois-énergie, dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables, fait craindre une aggravation de la pollution atmosphérique, notamment par les particules fines ;

    les problèmes de pollution atmosphérique générée par le bois énergie concernent avant tout le chauffage au bois résidentiel.

    « L’émission de poussières fines PM10 produites par la combustion du bois dans les poêles et cheminées domestiques est l’un des problèmes les plus sensibles en Italie et dans les pays européens, en particulier dans les pays germanophones. L’Allemagne, la Suisse et l’Autriche évoluent dans ce sens avec l’installation d’appareils à haut rendement et basses émissions de CO2 et de poussières totales ainsi qu’avec l’application d’un entretien correct des appareils existants. ».

    En France, Airparif, par exemple, estime qu’il est nécessaire de prendre très sérieusement en compte la pollution particulaire générée par le chauffage au bois :

    « Le chauffage au bois étant préconisé dans la lutte contre le changement climatique, une prise en compte de cette source de particules semble primordiale pour que son développement ne vienne pas à terme »

    Pollution par le bois

    Plus que de simples ramoneurs Nous apportons notre savoir-faire et accompagnons les organismes publiques et privés

    "Nous sommes très engagés sur les questions environnementales, sanitaires et sociales"

    expertise technique

    expertise sécuritaire

    expertise juridique

    expertise environnementale